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TÉLÉCHARGEMENTS

Revue de presse intégrale

L'Œil d'Olivier : Camille Mutel, entre nature et culture par Samuel Gleyze-Esteban — 15 avril 2023

À la fois théorique et élégante, l’œuvre de Mutel prend forme dans un espace fait d’écarts (...) À l’arrivée, l’artiste donne à voir un objet singulier et aussi soigné que l’était la cérémonie de Not I, déclinant avec inventivité les différentes métamorphoses du vivant. (...)

Pourtant chacun tue ce qu'il aime

Not I

Animaux de béance

Go, go, go, said the bird (human kind cannot bear very much reality)

Un Fauteuil Pour l'Orchestre : Not I, de Camille Mutel, au Théâtre de la Ville (Espace Cardin) dans le cadre du Temps fort jeunes créateurs par Nicolas Thevenot — 23 avril 2022

(Camille Mutel) agit et, dans la pureté des actes qui se succèdent, déploie ce chef d’œuvre inconnu que serait l’accomplissement pour soi, pour tous, de gestes indispensables à la préservation du monde. A son équilibre vacillant. (...)

Etna !

Soror

Nu(ǝ) muet

Effraction de l'oubli

Symphonie pour une dissolution

Le Sceau de Kali

Écho artpress 482 : Performance - Camille Mutel, l’accord craque par Stéphane Boudin-Lestienne — 30 novembre 2020

« Amour, cela veut dire : arc tendu : arc, corde, l’accord craque »

Marina Tsvetaïeva, le Poème de la fin, 1924

Entre démesure et dérisoire, fragilité et force, l’art de Camille Mutel n’est pas sans évoquer la poésie de Marina Tsvetaïeva, faite d’échos et de crépitements, d’images suspendues et d’émotions affleurantes. (...)

CONTACT

Laurent Cassagnau

cassagnaulaurent{@}gmail.com

France Culture - Les carnets de la création par Aude Lavigne — 23 janvier 2020

I/O n°88 - ça glisse par Mariane de Douhet — 20 juillet 2018

Au commencement était l’œuf. Venus des tréfonds, les feulements sourds de la chanteuse Isabelle Duthoit préparent une étrange rencontre : celle des corps nus des danseurs avec la matière séminale de l’œuf cru, qu’ils s’échangent dans la plus grande délicatesse, avec la colle spermatique, qui accompagne leur corps-à-corps aux allures de lutte. (...)

Danser Canal Historique - Gérard Mayen — mars 2017

Go, go, go, said the bird (...) de Camille Mutel, vu le 29 mars 2017 au festival 360° — La Passerelle de Saint Brieuc

Si on avait fait le déplacement de Saint-Brieuc, c’était, pour bonne part, en lisant le nom de Lorenzo De Angelis à l’affiche, dans les recherches en cours d’une grande pièce composite. Mais on a fini par se dire qu’on aurait plus de chance de voir son travail ici ou là, alors qu’il est rarissime de voir celui de Camille Mutel (...)

Ma Culture - La danse est une quête absolue du désir par Céline Gauthier — 24 octobre 2016

Fondatrice en 2003 de la compagnie Li(luo), la chorégraphe et interprète Camille Mutel explore sans relâche la présence scénique des corps. Initiée au but chez Masaki Iwana puis nourrie par de multiples influences, elle collabore avec de nombreux artistes et interprètes en quête de nouvelles expériences du regard. Sa dernière pièce, Go, go, go, said the bird nous plonge au cœur d’un trio envoûtant orchestré comme une cérémonie intime. C’est à l’occasion de sa présentation dans le cadre du Festival Bien Faits ! à Micadanse à Paris que nous l’avons rencontrée. (...)

Danser Canal Historique - Faits d’Hiver : « Go, go, go said the bird » de Camille Mutel par Thomas Hahn — 8 février 2016

L’amour physique est-il un art martial ? Camille Mutel présente une sorte de rituel hautement codifié, comme dans un cérémonial japonais ou dans une expérience scientifique, où deux corps nus se combinent ou s’entrechoquent de façon si épurée et stylisée que tout érotisme est incarné par les fluides. (...)

Kultiversum par Thomas Hahn — 22 février 2011
(traduction de l’allemand A. Mutel)

Les Européens sont-ils capables de faire du Butô ? Ils l’enseignent. Mais le danser ? ça non. Le Butô est pour eux une source par laquelle ils fouillent leurs propres mythes. Tout comme Camille Mutel qui secoue l’oublié pour le faire réapparaitre. (...)

Webthéa - Le Sceau de Kali Centre culturel Bertin Poirée par Philippe Verrièle — 7 novembre 2005

Festival Bertin Poirée 2005, les 3, 4 et 5 novembre 2005

Le Centre Culturel Bertin Poirée, lieu improbable, proposait deux soli. Le premier d’un maître du butoh, Masaki Iwana, est un voyage hallucinant, le second d’une très jeune danseuse – empruntant l’ubris du butoh à défaut de la lettre – est une plongée dans le dévoilement du sexe. (...) Intensité et charge scandaleuse (...)

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